smallworldinternational.com https://www.smallworldinternational.com Tue, 22 Jul 2025 08:00:02 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.smallworldinternational.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-entrepreneur-32x32.png smallworldinternational.com https://www.smallworldinternational.com 32 32 Open space, bureaux fermés ou hybrides : quel modèle pour une PME qui grandit ? https://www.smallworldinternational.com/open-space-bureaux-fermes-ou-hybrides-quel-modele-pour-une-pme-qui-grandit/ https://www.smallworldinternational.com/open-space-bureaux-fermes-ou-hybrides-quel-modele-pour-une-pme-qui-grandit/#respond Tue, 22 Jul 2025 07:54:08 +0000 https://www.smallworldinternational.com/open-space-bureaux-fermes-ou-hybrides-quel-modele-pour-une-pme-qui-grandit/ Quand une PME commence à grossir, il y a une tonne de questions à trancher. Le recrutement, la structuration, les outils, les budgets… et puis il y a l’espace de travail. Celui dont tout le monde parle mais que peu osent vraiment repenser : open space ou bureaux fermés ? Ou peut-être un modèle hybride ? Franchement, c’est pas juste une histoire d’aménagement – c’est une question de rythme, de culture, de quotidien. Et ça peut vraiment changer la vie au bureau.

Ce sujet, j’y suis revenu des dizaines de fois, souvent après une remarque anodine d’un collègue (“j’en peux plus de ce bruit”, “je me sens isolé·e”, “y’a jamais de salles libres”). Et vous, vous en êtes où ? Vous avez encore un open space bruyant à 12 ou déjà opté pour des bulles de calme ? Parce que oui, https://www.planete-bureau.fr en parle pas mal : le choix du bon format peut vraiment booster l’efficacité… ou plomber l’ambiance.

Open space : liberté, dynamisme… et chaos ?

On l’a vu fleurir partout depuis les années 2000. L’open space, c’est un peu le symbole de la startup cool : des grandes tables, des post-its colorés, tout le monde se voit, se parle, partage. Sur le papier, ça donne envie. Dans les faits… faut aimer le bruit constant, les discussions croisées, les visioconférences sans casque (oui, Géraldine, c’est à toi que je pense).

Mais soyons honnêtes : dans une petite boîte en pleine croissance, ça peut marcher. Au début, surtout. Quand l’équipe est soudée, que tout le monde gère plusieurs casquettes, qu’on avance vite. L’open space crée un effet “coloc pro” : tout le monde est au courant de tout, les idées fusent, les décisions se prennent sans réunion interminable.

Le souci, c’est que dès qu’on dépasse une quinzaine de personnes, ça coince. Trop de bruits parasites. Trop de context switching. Et des profils différents qui n’ont pas tous les mêmes besoins. (Les devs veulent du calme, les commerciaux du mouvement, et les RH un peu d’intimité pour parler salaires… logique, non ?)

Les bureaux fermés : focus et confidentialité, mais à quel prix ?

À l’opposé, on a les bureaux fermés. La vieille école ? Peut-être. Mais franchement, dans certaines situations, c’est salvateur. J’ai bossé un temps dans une PME tech à Lyon qui avait tout cloisonné. Résultat : des silences quasi religieux dans les couloirs. Pour la concentration, c’était royal. Pour la créativité collective… un peu moins.

Les bureaux fermés permettent une vraie concentration. Moins d’interruptions. Plus de confidentialité. Idéal pour les équipes qui gèrent du juridique, de la finance, ou tout simplement qui ont besoin de réfléchir sans être interrompues toutes les 3 minutes.

Mais voilà : ça coupe aussi un peu les liens. Les discussions informelles disparaissent. Et si la culture d’entreprise est encore jeune ou fragile, c’est risqué. Tout le monde reste dans son coin. Et on peut vite tomber dans une organisation en silos.

Le modèle hybride : le bon compromis ?

Honnêtement, c’est là que penche la majorité des boîtes aujourd’hui. Et je les comprends. Le modèle hybride, c’est un peu comme un buffet à volonté : tu piques un peu de tout selon les besoins. Des open spaces pour les équipes qui collaborent beaucoup. Des bureaux fermés pour les fonctions qui ont besoin de calme. Et des espaces partagés bien pensés (salles de réunions, phone boxes, bulles acoustiques, lounge… le rêve).

Mais attention : ça demande plus qu’un simple aménagement. Il faut penser aux flux, à la signalétique, aux règles d’usage. Sinon, ça vire au chaos organisé. J’ai vu une PME à Nantes faire un truc malin : ils ont demandé à chaque équipe de co-construire leur propre zone. Résultat ? Un espace ultra adapté, modulable, et surtout respecté par ceux qui y bossent.

Alors, on fait quoi pour sa PME ?

La vraie question, c’est pas “quel modèle est le meilleur”, c’est “quel modèle est le meilleur pour vous maintenant ?”. Parce que oui, ça évolue. Une équipe commerciale qui grossit va avoir besoin de points de contact constants. Un pôle tech qui scale aura besoin de silence. Et demain, vos besoins seront encore différents.

Le bon réflexe ? Tester. Ajuster. Et surtout écouter vos équipes. Parce que ce sont elles qui vivent l’espace au quotidien. Pas vous depuis la salle de réunion direction, entre deux appels stratégiques.

Conclusion : espace de travail, espace de croissance

Choisir entre open space, bureaux fermés ou hybride, c’est pas juste une question de mètres carrés ou de budget. C’est une décision qui touche au cœur de votre façon de bosser, de communiquer, de faire grandir votre boîte.

Alors prenez le temps d’y réfléchir. Observez. Parlez avec vos équipes. Et si vous sentez que quelque chose cloche dans l’ambiance ou la productivité, n’allez pas direct chercher un nouveau CRM ou faire un team building à Lisbonne. Parfois, ça commence juste par repenser l’espace.

Et vous, vous êtes plutôt team open space, cloison ou liberté totale ?

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Où et comment se faire connaître quand on est auto-entrepreneur ? Les canaux qui marchent https://www.smallworldinternational.com/ou-et-comment-se-faire-connaitre-quand-on-est-auto-entrepreneur-les-canaux-qui-marchent/ https://www.smallworldinternational.com/ou-et-comment-se-faire-connaitre-quand-on-est-auto-entrepreneur-les-canaux-qui-marchent/#respond Thu, 17 Jul 2025 14:23:02 +0000 https://www.smallworldinternational.com/ou-et-comment-se-faire-connaitre-quand-on-est-auto-entrepreneur-les-canaux-qui-marchent/ Quand on se lance en tant qu’auto-entrepreneur, y’a une question qui revient direct : comment je fais pour me faire connaître ? Parce qu’avoir une super idée, un service béton ou un talent fou, c’est bien. Mais si personne ne sait que t’existes… ben tu peux vite tourner en rond dans ta chambre, café froid à la main, en regardant tes stats à zéro.

Alors pour éviter ça, on va voir ensemble les canaux qui fonctionnent vraiment pour se rendre visible, attirer ses premiers clients et commencer à faire tourner la machine. Pas de bla-bla théorique, du concret. Et si t’as besoin de te référencer quelque part tout de suite, tu peux jeter un œil sur https://www.autoentrepreneur-annu.fr, c’est un annuaire dédié aux auto-entrepreneurs. Pratique, simple, et ça peut rapporter des contacts dès le début.

1. Le bouche-à-oreille (le vrai, pas celui des pubs LinkedIn)

On l’oublie souvent parce que ça a l’air « old school », mais le bouche-à-oreille reste un des trucs les plus puissants. Surtout au début. T’as pas encore de budget pub ? Normal. Alors parle. Parle à tout le monde.

Ton coiffeur, ton voisin, ton ancien collègue, la boulangère… tu serais surpris de voir à quel point les gens aiment recommander quelqu’un qu’ils connaissent. J’ai vu un graphiste décrocher un contrat avec une grosse boîte locale juste parce qu’il avait aidé une amie à refaire son CV. Vraiment.

2. Les réseaux sociaux (mais pas tous, hein)

Faut pas s’éparpiller. Si t’es partout mais actif nulle part, ça sert à rien. Pose-toi la question : où sont tes clients ? Si tu bosses en B2B, LinkedIn peut devenir ton terrain de jeu. Si t’es plutôt dans la déco, l’artisanat, ou les services à la personne : Instagram ou Facebook peuvent faire le taf.

Mais attention : publier des photos, c’est pas suffisant. Raconte ton quotidien, montre les coulisses, pose des questions, fais participer ta communauté. Tu construis pas juste une vitrine, tu crées une relation. Et ça, ça prend un peu de temps mais ça paye.

3. Les plateformes spécialisées

Y’en a pour tous les secteurs. Si t’es rédacteur, graphiste, développeur freelance, regarde du côté de Malt, ComeUp, Crème de la Crème. Si tu proposes des services locaux, des sites comme StarOfService ou AlloVoisins peuvent ramener du monde.

Ça prend un peu de temps de créer un profil bien fichu, mais ça peut te générer tes premiers clients (et parfois même des missions récurrentes). Le secret ? Des avis positifs. Demande-les dès ta première mission.

4. Les événements locaux : salons, meetups, cafés pro

On en parle trop peu… mais sortir de chez soi, ça reste une stratégie marketing efficace. Les réseaux locaux comme les CCI, les clubs d’entrepreneurs, les co-working organisent souvent des rencontres, des petits-déjeuners business, des ateliers gratuits.

Et franchement, même si t’es timide ou que t’as pas l’âme d’un VRP, va au moins à un ou deux trucs. Tu rencontres des gens, tu pitches ton activité en vrai, tu récoltes des cartes de visite. Parfois, un petit café peut déboucher sur un gros contrat. Testé et approuvé.

5. Google My Business (si t’as un lieu ou un service local)

C’est simple, gratuit, et pourtant tellement sous-utilisé. Tu proposes un service local ? Crée ta fiche Google Business Profile. T’apparaîtras dans les recherches « près de chez moi » – et crois-moi, c’est devenu un réflexe pour beaucoup de monde.

Ajoute des photos, des avis, tes horaires, ton site. Plus c’est complet, plus Google te mettra en avant. Et quand quelqu’un tape « coach freelance Toulouse », ça peut faire toute la différence.

6. L’emailing (même avec 37 contacts)

Tu crois que t’as pas assez de gens pour lancer une newsletter ? Erreur. Si t’as 37 contacts, commence avec ça. L’important c’est pas le nombre, c’est la régularité. Et la valeur que tu donnes.

Un petit mail tous les 15 jours pour donner un conseil, partager un retour d’expérience ou annoncer un nouveau service, ça suffit pour rester dans les radars. Et parfois, au bon moment, ce contact qui lit depuis 6 mois sans rien dire… il t’appelle.

En résumé : sois visible là où ça compte pour toi

Se faire connaître en tant qu’auto-entrepreneur, c’est pas une science exacte. C’est un mix entre bon sens, régularité et audace. T’as pas besoin de tout faire, tout de suite. Choisis 2-3 canaux, teste, ajuste, recommence. Et surtout, reste humain. Parle de ce que tu fais avec passion, sans surjouer. Les gens accrochent à l’authentique.

Et toi, t’as déjà testé un de ces canaux ? Lequel t’a apporté le plus de contacts ?

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Freelance, consultant, coach : 5 stratégies pour trouver ses premiers clients rapidement https://www.smallworldinternational.com/freelance-consultant-coach-5-strategies-pour-trouver-ses-premiers-clients-rapidement/ https://www.smallworldinternational.com/freelance-consultant-coach-5-strategies-pour-trouver-ses-premiers-clients-rapidement/#respond Fri, 11 Jul 2025 07:54:27 +0000 https://www.smallworldinternational.com/freelance-consultant-coach-5-strategies-pour-trouver-ses-premiers-clients-rapidement/ Tu viens de te lancer en freelance, en tant que consultant ou coach ? Tu regardes ton agenda tout vide, ton téléphone qui ne sonne pas, et tu te demandes comment tu vas décrocher ce fichu premier client ? Rassure-toi, tu n’es pas seul. On est passés par là. Et franchement, c’est souvent plus une question de méthode que de talent.

Dans cet article, je te partage 5 stratégies concrètes, testées et approuvées, pour trouver tes premiers clients. Pas dans six mois : là, maintenant. Et si tu veux creuser certains aspects de la création d’activité ou de la prospection, je te recommande ce site plein de ressources utiles : https://www.entreprissimo.fr. Je l’ai découvert par hasard, et j’y ai trouvé des infos franchement pratiques (et sans bullshit).

1. Active ton réseau perso (même si t’as l’impression qu’il ne sert à rien)

Je sais, c’est le conseil que tout le monde donne. Mais écoute-moi bien : tu serais surpris de voir qui peut t’amener tes premiers clients. Une cousine RH qui connaît une boîte qui cherche un coach ? Un ancien collègue qui galère avec un prestataire ? Une amie de promo devenue directrice marketing ? Boum.

Le bon réflexe : faire un petit post sur LinkedIn pour dire ce que tu fais, pour qui, et comment tu peux aider. Un truc simple, pas prétentieux. Et tu le dis aussi à tes potes, à ta boulangère si tu veux. Tu seras étonné des retours.

2. Rejoins des communautés où traînent tes clients cibles

Tu bosses avec des indépendants ? Direction les groupes Facebook, les Slack de freelances, les apéros d’entrepreneurs locaux. Tu veux aider des dirigeants de TPE ? Va sur LinkedIn, commente leurs posts, participe aux discussions.

Le piège, c’est de rester entre pairs. C’est sympa les groupes de freelances… mais tu vas pas y trouver 10 clients si tout le monde vend la même chose que toi. Va là où sont les gens que tu veux aider. Sois utile, pas pushy. Et laisse venir.

3. Crée une offre ultra simple, ultra claire

Quand t’es nouveau, faut que ça aille vite. Pas la peine de proposer 10 prestations, 3 formules, et des packages modulables. Trop flou, trop long à expliquer. Fais court. Une promesse, un prix, un format. Ex : “Coaching de 2h pour clarifier ton positionnement – 120 €”. Bim. Tu poses ça sur ton site, ton LinkedIn, en message privé. Et ça peut partir très vite.

Perso, ma première mission de conseil, je l’ai eue avec un message WhatsApp à peine rédigé. Pas de site, pas de plaquette. Juste un truc clair, envoyé à la bonne personne au bon moment.

4. Offre un premier accompagnement gratuit (mais pas n’importe comment)

Attention, je parle pas de bosser gratos pendant 3 semaines. Je parle d’un mini diagnostic, d’une session découverte, ou d’un atelier test. Le but : montrer ta valeur, faire goûter ton approche, et enclencher un bouche-à-oreille.

Un coach que je connais file 30 minutes d’analyse stratégique à ses prospects. Résultat : 4 clients sur 5 signent après. Pourquoi ? Parce qu’ils sentent qu’il capte leur besoin, qu’il va droit au but. Pas besoin d’en dire plus.

5. Frappe aux bonnes portes, de façon personnalisée

Je parle ici de la prospection directe. Oui, ça fait un peu peur. Mais si tu le fais bien, ça marche. Oublie les mails génériques type “Je me permets de…”. Écris des messages courts, humains, ciblés. Parle de la personne, de son business, de ce que tu as remarqué. Et propose une vraie valeur.

Un exemple : tu vois un post LinkedIn d’un dirigeant qui parle de ses galères à recruter. Tu lui envoies un message en mode : “Salut, j’ai lu ton post, et j’ai accompagné plusieurs boîtes dans ce cas. Si tu veux en parler, je t’offre un appel pour voir si je peux t’aider. Sans engagement.”

Pas intrusif, pas commercial. Juste une ouverture. Et parfois, ça fait mouche.

Alors, prêt à te lancer ?

Se lancer, c’est un peu comme sauter dans le vide en espérant qu’un client tendra un filet. Mais avec les bonnes stratégies, t’as plus de chances d’atterrir sur un matelas que sur du béton. Ne perds pas de temps à attendre d’être “prêt” ou “parfait”. Va sur le terrain, parle aux gens, teste, ajuste.

Et surtout, sois humain. C’est ça, ton meilleur levier au début.

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Comment réussir son développement commercial sans exploser son budget https://www.smallworldinternational.com/comment-reussir-son-developpement-commercial-sans-exploser-son-budget/ https://www.smallworldinternational.com/comment-reussir-son-developpement-commercial-sans-exploser-son-budget/#respond Fri, 04 Jul 2025 12:27:41 +0000 https://www.smallworldinternational.com/comment-reussir-son-developpement-commercial-sans-exploser-son-budget/ On ne va pas se mentir : développer son activité sans claquer tout son budget, c’est un peu le nerf de la guerre pour pas mal de TPE, d’indés, de PME. Tu veux faire décoller ton business, mais pas finir le mois à bouffer des nouilles parce que t’as tout balancé dans un plan com’ trop ambitieux. Et franchement, c’est totalement possible… à condition de s’y prendre intelligemment.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe plein de leviers efficaces (et pas chers) pour faire grandir sa boîte. J’ai vu des pros dans le Sud qui ont fait exploser leur carnet de commandes juste en bossant mieux leur ciblage et leur réseau. Si ça t’intéresse, jette un œil à https://www.entreprendre-mediterranee.com, ils partagent souvent des retours d’expérience très concrets de pros du coin. Perso, ça m’a aidé à revoir quelques stratégies un peu à l’ancienne que j’utilisais encore…

Commence par bien connaître tes clients (vraiment)

Tu crois connaître ton client idéal ? Spoiler : souvent, c’est faux. Je parle pas d’un vague “PME dans le BTP” ou “femme entre 30 et 45 ans”. Non, je parle de savoir ce qui l’empêche de dormir la nuit, ce qu’il tape sur Google à 22h quand il doute, ce qu’il attend *vraiment* d’un prestataire comme toi.

Un exemple concret : un artisan que j’ai accompagné à Marseille pensait que ses clients voulaient “un bon prix”. En creusant, on a vu que non. Ils voulaient surtout qu’il réponde vite et qu’il tienne ses délais. Résultat ? On a bossé la réactivité dans ses messages et bougé un peu sa promesse… sans dépenser un centime. Juste de l’écoute, du bon sens, et deux-trois ajustements sur son site et ses devis.

Utilise ton réseau… mais pas n’importe comment

Tu vois ces événements business où on se refile des cartes comme si on jouait au poker ? Clairement pas l’approche la plus rentable. Par contre, cibler les bons partenaires, ça, oui.

Je te donne une astuce que j’adore : la stratégie du “non-concurrent complémentaire”. En gros, tu identifies des pros qui bossent avec la même cible que toi, mais sur un autre besoin. Exemple : si t’es coach pro, rapproche-toi de cabinets de recrutement ou de consultants RH. Tu crées des ponts, tu échanges des clients, tu fais des recommandations croisées. Pas besoin d’un budget pub, juste un peu de café et de franchise.

Automatise ce qui peut l’être (sans te noyer dans les outils)

Attention, je dis pas qu’il faut acheter tous les outils à la mode. Mais certains trucs valent largement leur prix. Un bon CRM simple (type Hubspot ou Axonaut), un outil de mailings bien calibré, ou même une prise de rendez-vous automatique (franchement, Calendly, c’est pas cher et ça fait gagner un temps fou)… ça change la vie. Et ça t’évite de rater des clients par oubli ou par flemme.

Astuce testée : commence par automatiser ton suivi client après premier contact. Un petit mail automatique 3 jours après l’échange, un rappel 10 jours plus tard… Tu restes dans leur tête sans te ruiner.

Fais du contenu (oui, même si t’aimes pas écrire)

Le contenu, c’est LA façon de montrer ta valeur sans démarcher. Je parle pas forcément d’un blog hebdo super léché. Non. Parfois, une simple vidéo filmée au téléphone, où tu expliques un point de ton métier, suffit à te positionner comme un expert.

Une anecdote ? J’ai bossé avec une graphiste freelance à Nîmes. Elle a posté une vidéo de 2 minutes sur “les 3 erreurs qu’on fait quand on choisit un logo”. Filmée dans sa cuisine, à l’arrache. Résultat : 3 clients en 15 jours. Zéro budget pub, juste de l’authenticité et un bon sujet.

Et si tu dois investir… fais-le au bon moment

Parfois, il faut mettre un peu d’argent. Mais choisis bien tes combats. Le piège, c’est de tout claquer dans une refonte de site ou une campagne LinkedIn mal ciblée. Demande-toi toujours : “Est-ce que ça va générer du business dans les 3 mois ?”. Si la réponse est floue, attends.

Petit conseil : investis d’abord dans ce qui te fait gagner du temps ou ce qui améliore ta conversion. Une landing page optimisée, un bon script de vente, ou une formation ciblée. Pas besoin de 10k€, juste de viser juste.

En résumé ? Moins de dépenses, plus de stratégie

Développer ton business sans flinguer ton budget, c’est pas une utopie. C’est juste une question de priorités. Connais ton client sur le bout des doigts, active les bons leviers (réseau, contenu, automatisation), et garde toujours un œil sur le ratio effort/bénéfice.

Et toi, t’as testé quoi récemment pour booster ton activité sans exploser ton portefeuille ?

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Croissance d’entreprise : faut-il passer par un cabinet de conseil pour aller plus vite ? https://www.smallworldinternational.com/croissance-dentreprise-faut-il-passer-par-un-cabinet-de-conseil-pour-aller-plus-vite/ https://www.smallworldinternational.com/croissance-dentreprise-faut-il-passer-par-un-cabinet-de-conseil-pour-aller-plus-vite/#respond Wed, 04 Jun 2025 11:24:42 +0000 https://www.smallworldinternational.com/croissance-dentreprise-faut-il-passer-par-un-cabinet-de-conseil-pour-aller-plus-vite/ La question revient souvent autour d’un café ou d’un afterwork entre entrepreneurs : “Tu penses qu’il faut prendre un cabinet de conseil pour scaler plus vite ?”. Et là, franchement, les avis sont partagés. Il y a ceux qui jurent que ça les a sauvés, et d’autres qui disent que c’est du vent. Alors, on fait quoi ? On fonce ou pas ?

Je vais être cash : tout dépend de là où tu en es. Si tu passes tes journées à éteindre des incendies, que ta roadmap tient sur un coin de nappe, et que tu stagnes depuis 18 mois… c’est peut-être le moment de te faire accompagner. Il existe des boîtes sérieuses, comme https://www.greenwich-consulting.com, qui ont accompagné des PME dans des virages costauds (genre fusion, passage à l’international, ou levée de fonds tendue). Ce n’est pas de la poudre de perlimpinpin, c’est du solide – mais ça ne remplace pas ton instinct de dirigeant.

Quand ça vaut vraiment le coup

Imagine : tu viens de signer un gros contrat qui peut tripler ton chiffre d’affaires. Excitant ? Oui. Flippant ? Aussi. Parce que si tu n’anticipes pas la logistique, les recrutements, la gestion de trésorerie… tu vas droit dans le mur. Et là, un bon cabinet, c’est comme un copilote qui t’évite les trous d’air. Il ne prend pas le volant, mais il t’aide à garder le cap.

Un exemple ? J’ai bossé avec une PME industrielle en Rhône-Alpes (une boîte de 40 personnes, familiale depuis 3 générations). Ils ont fait appel à un cabinet pour digitaliser leur processus de vente. En 6 mois, ils avaient automatisé les devis, mis en place un CRM et doublé le nombre de leads traités par mois. Résultat : +27 % de CA en un an. Ça pique, hein ?

Mais faut pas rêver non plus

Attention, tout n’est pas rose. Se faire conseiller, c’est bien. Mais si tu espères qu’un consultant va tout faire à ta place, t’es mal barré. Un cabinet, c’est pas une baguette magique. C’est un miroir (parfois brutal), un catalyseur. Il va te challenger, pointer ce que tu préférais ignorer, et parfois, t’obliger à faire des choix douloureux.

Et puis, soyons honnêtes, c’est un investissement. Ça chiffre vite. 10 à 20K€ pour une mission stratégique de quelques semaines, c’est pas rare. Donc il faut que le retour soit clair. Pas juste “on va brainstormer sur la vision”. Faut du concret, des résultats mesurables, une vraie feuille de route.

Comment savoir si c’est le bon moment ?

Pose-toi ces 3 questions simples :

  • Est-ce que tu répètes les mêmes erreurs depuis des mois ?
  • Est-ce que tu sais ce que tu veux faire, mais tu ne sais pas comment y aller ?
  • Est-ce que tu manques de recul, de méthode ou de ressources internes pour accélérer ?

Si tu dis “oui” à au moins deux, creuse sérieusement la piste du cabinet de conseil. Mais choisis bien. Parle à des anciens clients, demande des résultats concrets, évite les beaux PowerPoints sans action derrière.

En résumé

Non, tu n’es pas obligé de passer par un cabinet pour faire grandir ta boîte. Mais parfois, c’est le coup de pouce qui te fait gagner 12 mois d’avance. Si tu trouves le bon partenaire, au bon moment, avec la bonne méthode… là, ça peut tout changer. Sinon ? Tu risques juste de perdre du temps, de l’argent… et pas mal d’illusions.

Alors, t’en es où toi ? Tu pilotes solo ou tu sens que t’aurais besoin d’un coup de main ?

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Recruter sans se planter : le guide express pour TPE et startups https://www.smallworldinternational.com/recruter-sans-se-planter-le-guide-express-pour-tpe-et-startups/ https://www.smallworldinternational.com/recruter-sans-se-planter-le-guide-express-pour-tpe-et-startups/#respond Thu, 22 May 2025 18:31:04 +0000 https://www.smallworldinternational.com/recruter-sans-se-planter-le-guide-express-pour-tpe-et-startups/ Recruter, franchement, c’est un des trucs les plus stressants quand on monte sa boîte. Que t’aies une TPE en pleine bourre ou une startup qui cherche à scaler, le bon recrutement peut te booster… ou te plomber pour des mois.

Et pourtant, on continue souvent à recruter « à l’instinct », au feeling, parce que « le CV avait l’air propre » ou que « le courant est bien passé ». Mauvaise idée. Tu veux éviter les galères ? On t’a préparé un guide express, 100% terrain, pour ne pas te planter.

1. D’abord, pose-toi LA question : pourquoi tu recrutes ?

Ça paraît bête dit comme ça, mais combien de fois j’ai vu des boîtes embaucher juste parce que “on est débordés”. Mauvais point de départ.

Tu cherches un bras droit pour structurer ? Un couteau suisse pour tout faire péter en marketing ? Ou juste quelqu’un pour t’aider à tenir la boutique ?

Sois précis. Écris ton besoin noir sur blanc. Vraiment. Une fois, chez un client à Lyon, on a passé 3 heures à écrire une fiche de poste ensemble… Résultat : un recrutement bouclé en deux semaines, sans drama.

2. Une fiche de poste, oui. Mais pas chiante.

Arrête avec les “missions diverses”, “profil polyvalent”, “sens de l’autonomie”. Personne ne sait ce que ça veut dire. Sois concret.

Décris une vraie journée type. Parle des outils que la personne utilisera (Slack ? Trello ? Un vieux Excel tout cassé ?). Donne une idée du rythme. Est-ce qu’il y a des calls à 8h avec des clients canadiens ? Ou c’est plutôt chill ?

Et, s’il y a un truc relou dans le poste (spoiler : y’en a toujours), dis-le. Tu préfères perdre un candidat maintenant que dans trois semaines, non ?

3. Le CV ? C’est cool, mais ça dit pas tout

Un bon CV, ça peut impressionner. Mais perso, j’ai vu des bêtes de profils se vautrer au bout de 15 jours. Et des autodidactes, sans diplôme, qui déchiraient tout.

Ce qui compte : la capacité à s’adapter, l’envie, la compatibilité avec ton rythme de boîte. Pose des questions ouvertes, comme “comment tu gères quand t’as trop de trucs à faire et pas assez de temps ?”.

Et surtout : mets-les en situation. Un mini cas pratique, même de 30 minutes, peut t’en dire dix fois plus qu’un entretien.

4. Arrête de chercher des clones de toi

On le fait tous. C’est rassurant de bosser avec des gens qui pensent comme nous. Mais c’est aussi le meilleur moyen de plafonner.

Ta startup ou ta TPE, elle a besoin de diversité : d’idées, de regards, de façons de bosser. Même si ça te bouscule un peu.

Un client m’a dit un jour : “J’ai recruté une nana qui me contredisait tout le temps… et c’est la meilleure décision que j’ai prise.” True story.

5. L’entretien : un échange, pas un interrogatoire

Pose ton ordi, oublie la checklist, et discute. Raconte ton quotidien, les galères, les victoires. Sois transparent.

Et écoute. Genre, vraiment. Ce que les candidats disent entre les lignes, ça compte. Un “j’aime bien quand c’est structuré” peut vouloir dire “je vais péter un câble chez vous si c’est le bazar”.

Tu veux un bon fit ? Faut que ça matche des deux côtés.

6. Et après ? On onboarde, bordel !

T’as trouvé la pépite ? Bravo. Mais le plus dur commence. Si tu la laisses dans un coin avec un ordi et un “tu verras au fur et à mesure”, tu la perds. Sûr.

Prépare une vraie première semaine. Présente l’équipe. Donne-lui un projet concret. Et sois là. Pas h24, mais vraiment dispo. Perso, j’envoie toujours un petit message le premier soir : “Alors, cette première journée ?”

Ça coûte rien. Et ça change tout.

Conclusion : recruter, c’est pas sorcier, mais faut le faire sérieusement

Tu peux pas te permettre de te planter. Une embauche ratée, ça coûte cher : en argent, en énergie, en moral.

Mais si tu suis ces étapes, si tu prends le temps de bien faire les choses, tu vas te construire une équipe solide, alignée avec ta vision. Et là, franchement… ça peut tout changer pour ta boîte.

Alors, t’as un recrutement en cours ? Ou un doute sur ton dernier choix ? Viens, on en parle.

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